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2018 sera l’année OMOH !


Les fidèles amis de Julien Doré s'apprêtent à sortir leur 1er album et pour l'occasion, Sports and People News a souhaité rencontrer Baptiste Homo et Clément Agapitos, les fondateurs du groupe OMOH.

Baptiste Homo et Clément Agapitos, les membres fondateurs du groupe OMOH. (Crédit photo: Omoh).

OMOH, plus qu’un Groupe c'est une Identité Musicale !

Messieurs Baptiste Homo et Clément Agapitos, pouvez-vous vous présenter ?

Baptiste et Clément : Nous sommes Baptiste Homo et Clément Agapitos, les membres fondateurs du groupe Omoh.

Comment est né le groupe "OMOH" ?

Baptiste et Clément : Nous avons créé le groupe "OMOH", il y a 5-6 ans.

A ce moment-là, nous créons déjà des productions musicales et nous voulions les proposer à des artistes en vue de travailler sur leurs albums, mais comme nous ne connaissions pas grand monde, nous les avons gardées pour nous et elles sont devenues des chansons. C’est une fois sorties que certains artistes se sont intéressés à notre travail.

Pour quelle raison votre duo se nomme ʺOMOHʺ ?

Baptiste : Homo c'est mon vrai nom de famille écrit à l'envers et quand nous avons monté notre projet, nous avions mis du temps pour intégrer le fait qu'il nous faillait un nom de groupe. Quand notre choix s'est porté sur OMOH nous trouvions cette appellation plutôt marrante et comme Clément a aimé, l'idée est restée ! Et puis avoir un nom en quatre lettres nous trouvions cela impactant.

Quelles sont vos influences musicales ?

Baptiste : Comme à la base nous sommes producteurs de musique, nous écoutons beaucoup de choses. Après, nous avons vraiment des goûts musicaux radicalement très opposés.

Pour ma part, je vais plus écouter des musiques à tendances pop et rock alors que Clément est plus porté par I'univers pop et électro.

Clément : En Fait, nous écoutons de tout mais avec des sensibilités bien différentes

Ce sont donc vos goûts musicaux qui créent la sonorité musicale d'OMOH ?

Baptiste : Oui ! La teinte musicale d'OMOH c'est vraiment le mélange entre nos deux univers.

Clément : Dans nos créations, nous essayons de trouver l'équilibre entre le son très rock qu'affectionne Baptiste et l’univers électro qui me correspond plus.

Notre musique c’est réellement la rencontre entre deux styles différents et le principe d'échanger, de partager en permanence sur les sonorités musicales que nous aimons.

Vous chantez en français et en anglais. L'impact sur le public est-il différent selon la langue choisie ?

Baptiste : Dans un concert, je ne suis pas persuadé que la langue choisie change beaucoup de choses.

Par contre, pour les personnes qui écoutent de la musique sur les plateformes dédiées ça à l'air d'avoir son importance. Certains préfèrent nos titres en anglais et ceux qui sont sensibles à la langue française sont plus attachés à nos titres en français. Tout dépend de nos propres sensibilités !

Clément : Je sais par expérience que mes grand-parents étaient ravis quand je chantais en français car justement, ils étaient très attachés la langue française et ils font parties des personnes qui ne comprennent pas pourquoi des artistes français chantent en anglais. D'ailleurs, j'ai eu des retours de personnes qui me disaient clairement ʺEnfin vous chantez dans votre langue !ʺ Et même parfois, j'entends ʺArrêtez de vous cacher derrière l'anglais !" Donc d'un côté, il y a ces réactions très nationalistes et de l’autre côté, nous retrouvons des personnes qui aiment la musique anglo-saxonne qui peuvent aussi être gênées par le fait que nous chantons en français.

Baptiste : Au moment de la création, nous ne nous posons pas cette question, nous prenons juste l’inspiration comme elle vient. À ce jour, nous avons deux chansons écrites en français "Amour 3000ʺ et l’autre figure sur notre 1er album. Même si 90% de notre répertoire est en anglais, nous ne souhaitons pas nous mettre des interdits.

Vous fonctionnez plutôt l'Instinct ?

Clément et Baptiste : Oui, exactement !

Clément : Aussi, dans nos compositions, nous sommes très attachés à la sonorité musicale et nous accordons beaucoup d’importance au fait d'être profonds ! Donc que ce soit en français ou en anglais, nous sommes satisfaits par le rendu de l’album qui va prochainement sortir et nous sommes très contents que le message que nous souhaitons faire passer à travers cet opus soit bien celui que nous avions imaginé en amont… Enfin, nous y sommes arrivés ! (Rire).

Être satisfait de son travail c'est bien là l'essentiel !

Clément et Baptiste : Oui, Absolument !

Quand l’Univers Magnétique d’OMOH s’Exporte !

En parallèle de votre carrière artistique, vous collaborez aussi avec d’autres artistes notamment avec Julien Doré, Marie-Flore, Breton, Alex Beaupin et The Pirouette.

L'inspiration est-elle plus facile trouvé lorsque vous travailler pour vous-même où lorsque vous créez pour d’autres artistes ?

Clément : Le travail diffère selon les artistes car ils n'ont pas les mêmes demandes.

Baptiste : Comme notre but premier c'était de collaborer avec des artistes en tant qu'arrangeurs et producteurs, je dirais que c'est beaucoup plus simple de travailler pour les autres que pour nous-mêmes. Quand nous travaillons pour OMOH nous ne pouvons pas nous cacher derrière quelqu'un d'autre. Nous devons défendre nos créations nous-mêmes. Par contre, quand un artiste chante une chanson que vous avez produite où créée, le stress n'est vraiment plus le même.

Clément : L'avantage des collaborations c'est que nous proposons des choses que nous aimons aux artistes et eux par la suite, prennent la décision finale après mûre réflexion avec leur équipe.

Quand nous créons pour nous-mêmes, la réflexion autour d 'une chanson est vraiment plus intense. Il faut faire des choix et ce n'est pas toujours simple à gérer ! Toutefois, le défi est beaucoup plus épanouissant quand vous finalisez votre Chanson et qu’après vous devez le défendre !

Baptiste : Quand vous proposez une chanson à un artiste, vous partez du principe que même si vous jugez que votre composition est bonne, c'est uniquement l’artiste qui prendra la décision finale d'inclure ou non votre création dans son album

Une Collaboration c’est aussi une entente mutuelle ?

Clément : Oui ! C'est important de plaire à l’artiste avec lequel vous collaborez et si vous arrivez à le sensibiliser à votre univers, cela vous permettra de dépasser les attentes de l’artiste et ainsi d'aller plus loin dans la création. En tout cas, que vous créez pour vous-même ou pour d'autres personnes, le challenge est véritablement différent !

Toujours concernant vos collaborations. Parmi les chansons que vous avez créée laquelle vous donne le plus de satisfaction ?

Clément : Bonne question !

Baptiste : Espérons qu’elle arrive prochainement ! Nous avons déjà fait des choses superbes et nous sommes fiers de notre parcours.

Clément : Nous avons réalisé tellement de choses si différentes avec chacun des artistes avec lesquels nous collaborons qu'il est difficile de répondre à cette question.

Effectivement, nous avons beaucoup travaillé avec Julien Doré et nous en sommes très fiers ! Julien nous a offert énormément de place sur ses disques et ce fut très enrichissant pour nous.

Baptiste : Dans chaque projet que nous avons mené à bien, une grande fierté est apparue lorsque les titres sont sortis et qu'il y a eu par la suite, la reconnaissance du public.

Vous venez d’évoquer Julien Doré. Être autant assimilé à lui est-ce parfois pesant ?

Clément : Quand vous travaillez énormément avec quelqu'un, c'est bien normal que vous soyez autant assimilé à lui ! Nous concernant, nous sommes très contents que notre collaboration avec Julien Doré se passe bien et que notre travail en commun plaise !

Autre particularité de votre binôme, vous êtes polyvalents. Vous êtes à la fois musiciens, paroliers, compositeurs, arrangeurs et producteurs, cette pluridisciplinarité est-ce un atout pour un artiste ?

Clément : Quand vous êtes arrangeur ou producteur, il est préférable d'être polyvalent et de savoir un peu tout faire soi-même ! Dans la réalité, nous ne sommes pas les meilleurs à tous les niveaux, je dirais que nous sommes passablement bons mais pour le moment, cela suffit, pour exprimer l'idée que nous souhaitons émettre. Nous sommes loin d’être des virtuoses !

Baptiste : Oui c 'est vrai !

En même temps, "OMOH" est un jeune groupe !

Clément : Oui c’est vrai !

Par rapport à tout votre travail pour confectionner des chansons, je trouve votre jugement très sévère envers vous-mêmes car vous faites parties d'une génération d'artistes qui participent à l’élaboration d'un album ou d'un EP depuis sa création jusqu'à la sortie dans les bacs !

Baptiste et Clément : Oui c'est vrai ! Nous exploitons tout ce qui est à notre portée !

D'ailleurs, en étant si polyvalents, vos chansons s’imprègnent encore plus de vos personnalités !

Baptiste : En fait, nous nous forçons à exploiter au maximum nos capacités !

Pour la petite histoire, quand nous venions de lancer "OMOH", j’étais le seul chanteur puis avec le temps et l'expérience, Clément s'est mis à écrire, à chanter et je trouve cela merveilleux qu’au fil des années, chacun d’entre nous, nous avons su nous épanouir au sein même de notre groupe… D'ailleurs, je crois sincèrement que notre polyvalence est née ainsi dans le désir de vouloir se dépasser encore et toujours !

Clément : En studio, il arrive toujours un moment vous vous retrouvez seul et dans ces instants-là, vous devez montrer que vous êtes capables de réussir et ce grâce à vos compétences.

Aussi, quand vous avez une idée en tête, il n'y a que vous qui puissiez véritablement la rendre concrète donc vous avez plus facilement l’envie de jouer d'un instrument, de chanter, réaliser des clips-vidéos, être responsable de votre propre communication, etc., afin de coller au maximum à votre souhait initial... Aujourd'hui plus que jamais, en plus de nos compétences musicales, un artiste se doit d'être polyvalent !

Baptiste : Oui c’est vrai ! Nous devenons aussi photographe lorsqu'il y a un besoin à ce niveau ! Oui, en fait, nous nous occupons de beaucoup de choses afin d’être toujours performants !

Vous vous bonifiez avec le temps c'est une excellente qualité !

Clément : Oui, c'est tout simplement l'expérience ! (Rire).

En plus de Monsieur Julien Doré, d’autres personnes ont-elles contribué à votre évolution artistique ?

Baptiste : Marie-Flore a beaucoup participé à l’évolution du groupe OMOH. Elle a commencé à co-écrire des textes en anglais puis elle a posé sa voix sur nos chansons et aujourd'hui, elle fait véritablement partie du groupe sur scène… En fait, nous ne pouvons plus nous passer d'elle ! (Rire).

Il y a aussi nos amis Léo qui est le frère de Clément et Gaël qui nous accompagnent respectivement au clavier et à la batterie lorsque nous nous produisons sur scène. Ils furent également présents au moment de la création de l'album ! C’est notre petite famille !

Clément : Certaines rencontres ont marqué notre histoire ! Bien évidemment il y a celle avec Julien Doré mais il y a aussi notre rencontre avec Antoine Gaillet qui nous a énormément apporté surtout au niveau de nos métiers d'arrangeur et de producteurs... Grâce à lui, nous avons appris et nous avons aussi eu du travail !

Quelle que soit la durée d’une collaboration, chaque artiste avec lequel nous avons travaillé nous a apporté quelque chose de bénéfique et cela nous a permis de nous faire un nom dans le milieu. Au final, ce sont toutes de belles rencontres !

Je vous souhaite réellement Messieurs Homo et Agapitos de réussir mais surtout de concrétiser tous vos rêves !

Entre sonorité pop-électro et une ambiance vintage, le premier opus, d'Omoh, le duo FrenchPop s’annonce magnétique ! (Crédit photo: Omoh).

L’Avenir Vous Appartient !

2018 marque la sortie de votre 1er album, est-ce l'aboutissement d'un rêve ?

Clément : C'est la fin d'un long accouchement !

Baptiste : Ce n'est pas simple dans l’industrie du disque d’être indépendant ! Vous êtes seul à mener les choses à leur terme et la confection d’un album n’est pas une mince affaire ! Que ce soit avec les artistes avec lesquels nous avons collaboré ou pour notre projet à nous, ça reste l’aboutissement d’un long travail.

Avec la sortie d 'un opus de nombreux paramètres sont à gérer et il est préférable d'en maîtriser un maximum afin de ne pas recevoir une épée dans le dos !

La sortie de votre 1er opus est prévue pour quand ?

Clément : La date n'est pas encore connue ! Sachez juste que l'album est prêt à paraître et nous attendons uniquement qu’au niveau administratif tout soit enfin réglé !

Après la parution de votre album, une tournée sera-t-elle envisagée ?

Baptiste : Oui, Normalement ! Mais pour le moment, nous ne pouvons en dire plus tant que l'album n'est pas encore sorti.

Clément : Soyez rassuré nous nous produirons sur scène !

Ravie par cette excellente nouvelle qui enchantera votre public !

Clément : Oui !

Même si pour le moment, vous êtes en attente, avez-vous une idée des villes où vous prévoyez de vous produire sur scène ?

Baptiste : À Paris et chez nous à Nîmes c'est certain ! Nous jouerons dans d'autres communes c’est sûr mais nous en saurons davantage dans les jours prochains.

Monsieur Clément Agapitos, un jour, vous avez comparé les Arènes de Nîmes au Stade de France, est-ce un souhait pour l'avenir ?

Oui c'est vrai ! Les Arènes de Nîmes sont un peu notre Stade de France ! (Rire). Nous nous y sommes produits en juin dernier et c'était super ! Comme nous sommes tous deux Nîmois c’est bien évidemment un monument important pour nous et d'ailleurs, lorsque nous sommes sortis de la scène nous étions galvanisés et un sentiment de fierté nous animait. Ces deux lieux sont des endroits extrêmement chargés d'histoire et c'est vrai que pour le moment, j’ai vu uniquement des spectacles aux Arènes de Nîmes, pas encore au Stade de France, la donne va peut-être changer !

Ressentez-vous la même émotion lorsque vous terminez un album ou quand vous êtes sur scène ?

Baptiste : Pour ma part, les émotions sont totalement différentes !

Clément : Le temps dans un concert passe aussi vite qu’un claquement de doigt alors que la fabrication d'un album c'est très long donc le ressenti n'est pas le même. L’investissement est différent en studio.

Baptiste : Quand vous terminez un album, il n'y a plus vraiment de spontanéité. Certes vous êtes heureux d’avoir achevé votre projet…

Clément : Non, un album n’est jamais vraiment fini ! À la rigueur, il est défini mais jamais réellement fini !

Baptiste : En revanche quand vous êtes sur scène, vous ressentez des sensations liées à l'instinct, au physique et comme l'indique Clément ce sont des émotions éphémères qui se vivent en quelques secondes.

Clément : Aussi, il est essentiel de s'imposer une date de fin quand vous concevez un album sinon vous ne terminerez jamais votre opus ! Et comme de nombreuses personnes, nous sommes des éternels insatisfaits, nous souhaitons toujours faire mieux mais si nous restons dans cette optique, les choses stagneront et aucun album ne sortira d’où l'obligation de s’imposer une date limite.

Le groupe OMOH et Marie-Flore interprètent le titre "Hours Of Sunshine" sur la scène du Trianon. (Crédit vidéo : L'émission "Alcaline" diffusée en Avril 2014 sur France 2).

Pour l'instant, quels sont vos plus beaux souvenirs de carrière et quelles sont vos plus belles rencontres ?

Baptiste : Je dirais tous les moments passés ensemble. Il n’y a pas eu de gros fiasco ! (Rire).

Clément : Le tout premier concert que nous avons fait à L'International à Paris où j’avais l’impression de redevenir un enfant alors que c'était il n'y a pas si longtemps. C'est véritablement un très beau souvenir !

Baptiste : Je partage l'avis de Clément sur notre premier concert. Aussi, le fait de montrer réellement notre groupe sur scène c'est vraiment un souvenir qui vous marque. C 'est également le point de départ de nombreux beaux souvenirs qui ont suivi !

Clément : Nous avons peut-être idéalisé ce premier concert mais au final c'était vraiment super !

Baptiste : Même si nous devons avouer avoir très mal joué ce soir-là ! (Rire).

Clément : Aujourd'hui, nous nous sommes améliorés ! (Rire).

Je remarque que très souvent vous faîtes votre propre auto-critique !

Clément : C’est juste que sur un premier concert, il n'y a pas de miracle ! Toutefois, avec le travail et l'expérience vous progressez au fil du temps. Aujourd'hui, nous avons assuré 40/50 dates de spectacle et par rapport à nos débuts, on observe une vraie progression. Baptiste faudrait peut-être rejouer à l'International pour valider notre progression qu’en penses-tu ? (Rire).

Si vous avez la possibilité, avec quels autres artistes aimeriez-vous collaborer ?

Clément : J’aurais aimé travailler avec Johnny Hallyday.

Baptiste : J’aimerais beaucoup collaborer avec Angelo Badalamenti qui a notamment composé la Bande-Originale du film ʺTwin Peaksʺ. D'ailleurs, cet homme nous a énormément influencé à une époque et j'adorerais le rencontrer déjà pour lui parler de composition mais aussi de l’association musique et images.

Clément : Oui, Angelo Badalamenti et son ami Giorgio Moroder !

Baptiste : Oui, ce serait formidable si nous puissions un jour rencontrer Messieurs Angelo Badalamenti et Giorgio Moroder !

Je vous souhaite de rencontrer ces deux personnalités et pourquoi pas, collaborer avec elles... Tout est possible dans la vie !

Aussi Amateur de Football !

Monsieur Clément Agapitos, vous appréciez le football, quelle équipe supportez-vous ?

Je supporte l'Olympique Lyonnais.

Pourquoi ?

Clément : Comme pour le Paris Saint-Germain qui a vu son nombre de supporters s'accroître avec l'arrivée de stars, je me suis pris d’affection pour ce club durant mon adolescence car à cette période-là, l'OL était la meilleure équipe de France. En grandissant, je n’ai pas lâché cette équipe et aujourd'hui, 10-15 ans après, je continue de les soutenir !

Quels sont vos footballeurs préférés ?

Clément : Zinedine Zidane au temps où il jouait. Sinon, à l'heure actuelle, j’apprécie Nabil Fekir mais sans plus que cela ! En fait, je préfère surtout le jeu collectif d'une équipe !

Vous pratiquez aussi ce sport, à quel poste évoluez-vous ?

Clément : J’évolue au poste de défenseur central.

Comment jugez-vous votre niveau de jeu ?

Clément : C'est au niveau amateur donc plus près de la catégorie loisirs.

C'est aussi une belle façon de décompresser ?

Clément : Oui et pas seulement ! Faire du sport en équipe c'est important pour moi, c'est notamment une autre forme de sociabilité. Pratiquez un sport collectif cela vous permet également de rencontrer d'autres personnes très sympathiques autour d'une autre passion commune et ça fait beaucoup de bien parfois de s’aérer l'esprit autrement !

Monsieur Baptiste Homo, avez-vous un sportif ou un sport qui vous a marqué ?

Baptiste : Je ne suis pas trop porté sur le sport, cependant, la seule compétition que j'aime regarder c’est Roland-Garros.

Clément : C'est un peu ta madeleine de Proust !

Baptiste : Oui c'est exactement cela ! Quand je me remémore mes souvenirs liés aux Internationaux de France cela me rappelle le temps où je révisais mon brevet et où je buvais du Perrier ! D’ailleurs, je me souviens que cette année-là c'est Gustavo Kuerten qui avait gagné Roland-Garros et je me souviens encore qu’après son sacre en 2001, il avait dessiné un cœur sur la terre battue. Ce fut un moment magnifique !

Clément : D'ailleurs, c’est la dernière fois que le brésilien à remporter un tournoi du Grand Chelem !

Le fameux cœur de ʺGugaʺ a marqué les esprits de beaucoup de personnes !

Clément et Baptiste : Oui, c’est un souvenir marquant pour beaucoup de personnes !

2018 c’est aussi l'année de la Coupe du Monde de Football en Russie, quelle serait votre finale idéale ?

Clément : Oui ! J'aimerais beaucoup une finale opposant la France à l'Argentine. Et bien évidemment c'est la France qui remporte le Mondial !

Enfin, pour conclure l'interview que pouvons-nous vous souhaitez pour l’avenir ?

Baptiste : Tout simplement continuer à avoir de l'inspiration !

Clément : Oui, être toujours inspiré !

En ce début d'année, je vous souhaite donc d'être toujours inspiré.

Clément et Baptiste : Nous l'espérons !

C'est important d’avoir des rêves et des désirs si nous voulons avancer !

Baptiste : Bien sûr !

Clément : C’est notre moteur et c'est vrai que sans l’envie c 'est compliqué d'avancer !

Je sens bien que votre nouvel opus plaira à un large public. Ce serait mérité que votre musique connaisse un succès hors de nos frontières puisque vous chantez aussi en anglais… C’est toujours bien de voir nos Frenchies s’expatrier !

Clément et Baptiste : Ce serait formidable ! En tout cas, nous travaillerons dans ce sens.

Je vous remercie grandement Messieurs Baptiste Homo et Clément Agapitos pour ce bel échange.

Je vous souhaite sincèrement d'avoir une aussi belle carrière que votre ami Julien Doré.

Propos recueillis par M. Bensalah.

Mercredi 17 Janvier 2018.

Pour retrouver toute l'actualité du groupe OMOH, dirigez-vous vers les sites suivants :

Site Officiel : OMOH

Facebook : OMOH Officiel

Twitter: OMOH

Chaîne YouTube : OMOH THE BAND OMOH

Instagram : __omoh__

SoundCloud : OMOH

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